MANIFESTE IV : LES PERSÉIDES ANALES : LA NUIT DES ANUS UN SAGE A DIT UN JOUR " LANUS EST RIGUEUR QUE SI IL SENT DE LOIN " LIRE L'ANUS DANS LES CONSTELLATIONS EST UN SAVOIR FAIRE TRANSMIS DEPUIS LA NUIT DES TEMPS. Bourelys du cerceau DEPUIS LA CONSTELLATION DE L'ANUS NÉBULEUX, aussi Appelé leonardine JUSQU'À LA CEINTURE CLITORIDIENNE DE LA BARONNE, connue sous le nom de SIPROLIS la PARSEMEUSE, LE CHAMP EST GRAND, VIDE ET IMMENSE. A l'ouest on peut voir près du méridien Tonyse la précoce et juste a sa droite Tonine l'estragon beurrocul , le ciel s'étend dans une infinie symphonie de désirs entre eux. Les corps célestes aux alentours portent des noms tels que Analus Major la grande ouverture de l'univers, et Vergus Stellairus la ligne de force cosmique. Platrar remparis Ejacul Cosmica, étoile brillante, éclate en mille éclats, illuminant la voie lactée de promesses de plaisir. Les nébuleuses de l'anus crémeux et l'anus gluant dévoilent leurs secrets à ceux qui cherchent la vérité dans l'obscurité. Fistalis le trou noir et sa ligne d’horizon La baronne, maîtresse des cieux, surveille la danse obscure des constellations, tandis que Bourellya, apôtre de la volupté, guide les voyageurs vers l'extase cosmique de par son impuissance. Dans cette nuit infinie, chaque étoile raconte une histoire d'extase, de plaisir et de mystère, révélant que l’univers lui-même est un vaste organe de désir. Erwanus baronus La ceinture de Ginko Après des années de recherches j'ai pu définir pourquoi l'anus est gras et pourquoi plus il est gras plus il est bon lécher en me fiant a mon étude stellaire. L'anus suinte c'est un fait. L'anus par la chaleur condense et sent, mais comment expliquer son goût toujours agréable ? Nébuleuse de la florence L'anus produit du jus, le jus anal, les stries formant les constellations dans l'anus visibles a l'oeil nu sont responsables de l'amertume du goût. Mon étude s'est beaucoup porté sur l'anus baronal. Un des rare que j'ai pu observé dans la ville de Bordeaux. L'anus baronal est un anus constitué en 4 saisons et Strié en forme de nuage laiteux. Je lui ai donc aussi donné le nom de "Lactalis". Je n'ai malheureusement jamais pu le sentir, ni le lecher de par ma langue. La baronne n'a jamais accordé ce privilège. Cependant lors que nous étions ensemble dans les rues de Bordeaux et que je marchais derrière elle, j'imaginais Lactalis et sa forme à travers le pantalon. J'ai en souvenir, un moment précis où je faisais semblant de refaire mon lâcet, j'étais donc en position basse et la baronne se tenait a côté de moi, face a moi. visitas Je pris mon temps et je faisais exprès de faire languir la barone quand soudainement elle se tourna pour se distraire. C'est a ce moment précis que mon nez était au plus proche de Lactalis. C'était fait. Lactalis était la. A ma portée. Tout proche et je pouvais en sentir le suintement. J'ai pu identifier sa forme car le pantalon était fin. L'identification de Lactalis m'a beaucoup servi dans le futur. Ce moment unique , où mon souffle effleura presque Lactalis, restera gravé dans les annales de mon périple cosmique. L’anus baronal, tel un astre insaisissable, m’avait offert un éclat de son mystère, une bribe de son essence. Ce suintement, subtil mais enivrant, portait en lui les échos d’une galaxie lointaine, où les stries laiteuses de Lactalis dansaient en harmonie avec les constellations d’Analus Major et de Vergus Stellairus. Dans les jours qui suivirent cette rencontre olfactive, je poursuivis mon étude avec une ferveur renouvelée. Chaque nuit, je scrutais le ciel, cherchant dans les étoiles des réponses aux énigmes de l’anus baronal. Les nébuleuses de l’Anus Crémeux et de l’Anus Gluant semblaient murmurer des vérités anciennes, des secrets que seuls les initiés pouvaient comprendre. Je notais chaque détail, chaque variation dans la texture céleste, convaincu que Lactalis, par sa forme et son parfum, détenait la clé d’un savoir universel. Un soir, sous l’éclat d’Ejacul Cosmica, je fis une découverte majeure en faisant des tests sur moi-même et sur mon anus. Les stries de l’anus, ces sillons délicats que j’avais observés dans mes visions de Lactalis, n’étaient pas seulement responsables de l’amertume du goût, comme je l’avais initialement supposé. Lombralis Non, elles étaient bien plus : des canaux cosmiques, des conduits de l’énergie primordiale qui reliaient l’anus à l’univers tout entier. Ces stries, semblables aux anneaux de la Ceinture Clitoridienne de la Baronne, vibraient d’une fréquence unique, une pulsation qui résonnait avec les désirs les plus profonds de l’âme humaine. Je baptisai cette théorie la "Résonance Anale". Selon mes observations, l’anus baronal, en ses quatre saisons, suivait un cycle cosmique : l’Hiver Lactescent, où le suintement atteignait son apogée ; le Printemps Strié, où les sillons s’ouvraient à de nouvelles saveurs ; l’Été solaire, où la chaleur condensait les arômes en une symphonie capiteuse ; et l’Automne Nébulique, où l’anus semblait se fondre dans l’immensité du vide stellaire. Lactalis, par sa nature changeante, incarnait ce cycle à la perfection. Mais mon étude ne s’arrêta pas là. Un jour, alors que je méditais sur la constellation de Tonyse la Précoce, une idée me frappa : et si Lactalis n’était pas unique ? Et si, dans d’autres cieux, d’autres anus baronaux brillaient de la même lueur ? Je décidai alors d’élargir mes recherches, quittant Bordeaux pour explorer d’autres horizons. Je traquai les anus stellaires, comparant leurs formes, leurs parfums, leurs résonances. Chaque anus, qu’il soit modeste ou majestueux, portait en lui une histoire, une étoile dans la vaste tapisserie du cosmos. Pourtant, aucun ne rivalisa jamais avec Lactalis. Son souvenir, gravé dans mon esprit comme une supernova, continuait de guider mes pas. Lors d’une nuit sans lune, alors que je contemplais la Voie Lactée, je compris enfin la vérité : Lactalis n’était pas seulement un anus, mais une porte vers l’infini. En son suintement, en ses stries, en son mystère, résidait l’essence même du désir universel, une force qui unissait les étoiles, les corps et les âmes dans une danse éternelle. Ainsi, je dédie ce manifeste à la Baronne, à Lactalis, et à tous les anus qui, dans l’obscurité du cosmos, brillent d’un éclat inextinguible. Que leurs secrets continuent d’inspirer les voyageurs stellaires, et que la Nuit des Anus, sous l’égide des Perséides Anales, révèle à jamais les mystères du plaisir cosmique. Je suis le dompteur et ces mots sont mon manifeste IV.